Mathilde Ioshii
Nombre de messages : 12 Age : 42 Date d'inscription : 24/05/2009
Feuille de personnage Âge: Rôle: Métier/Niveau d'études/Qualification
| Sujet: Mathilde Ioshii [en cours] Mar 26 Mai 2009 - 14:38 | |
| Nom - Prénom(s) : Ioshii Mathilde, Miori
Pseudonyme/Surnom : aucun pour l'instant
Age - Date de naissance sans l'année : 24 ans - née un 24 Avril
Sexe : Féminin
Description physique : Mathilde est une jeune femme plutôt athlétique. Elle est de taille moyenne : 1,70 mètres pour 56 kilos. Quelques changements sont toutefois à noter depuis sa période lycée. Sa longue chevelure blonde platine fait maintenant place à une coupe plus courte bordant mieux son visage à la peau mate et aux yeux bleus électriques. Ses traits se sont endurcis depuis le lycée, marqués par les différentes expériences qu'elle a enduré depuis qu'elle a été enlevée par Fenrir et Loki. Mais elle a toujours gardé quelques expressions enfantines et joviale qui la caractérisaient autrefois, même si elles se font plus rares désormais. Son regard bleu électrique contrastant parfaitement avec sa peau mate le rend encore plus perçant et on à souvent tendance à ne remarque que cela chez elle au premier abord. Sa silhouette athlétique est réhaussée par des formes généreuses et rondes. Elle a ce qu'il faut où il faut. Elle est souvent vêtue de rouge.
- Spoiler:
Métier ou Niveau d'études pour ceux qui n'ont pas encore de métier : Mathilde était en première année de prépa quand elle s'est faite enlever par Loki... Elle n'avait pas encore vraiment songé à son avenir, cherchant des réponses sur la personne qu'elle était.
Etat de santé : R.A.S.
Description psychologique :
Origine : Japonaise
Famille: Il ne lui reste que sa mère Yuko qui vit seule au japon. Elle sait que son père est européen mais elle ne l'a jamais connu.
Histoire : Mathilde est née un 24 avril, sur l'île d'Okinawa au Japon. D'une mère japonaise, Yuko Ioshii et d'un père occidental, John Clayton. John était en voyage au japon et Yuko travaillait dans une des nombreuses stations balnéaire d'Okinawa. Ils eurent une aventure, qui dura un certain temps, malgré la distance qui les séparaient. Mais peu après la naissance de l'enfant, son père et sa mère se sont séparés et son père à quitté le pays pour ne jamais revenir. Il nia alors totalement l'existence de sa fille et ne donna aucune nouvelle. La petite Mathilde a donc été élevée par sa mère et n'a jamais connu son père. Mathilde ne semblait pas souffrir de ne pas avoir de père et quand elle posait des questions à sa mère, au sujet de sa différence physique, (admettons qu'une japonaise blonde de nature aux yeux bleus, cela ne courait pas les rues au japon); sa mère lui répondait toujours la vérité, qu'elle tenait de son père européen qui était parti et qui jamais ne reviendrait. Cette réponse convenait à la petite fille qui était encore bien naïve à l'époque. Elle eu une enfance normale et fréquenta les meilleures écoles du Japon. Sa mère souhaitait qu'elle réussisse dans la vie afin de ne pas répéter les erreurs qu'elle avait elle-même commises.
Mathilde était une enfant pleine de vie et toujours joyeuse à qui tout réussissait. Elle était bien entendu protégée par sa mère et c'était l'insouciance et l'ignorance qui primait chez elle d'où son enfance plutôt paisible ainsi que son début d'adolescence. Elle était très chaleureuse et ouverte et n'avait pas de mal à s'intégrer où qu'elle soit.
Dès l'âge de 10 ans, Mathilde commença à prendre des cours d'art martiaux auprès de son sensei (=maître). Sa mère pensait que ce serait un excellent moyen de canaliser toute l'énergie qu'elle avait à revendre, car la jeune fille avait la bougeotte et ne tenait pas en place. Mathilde suivit assidument ses cours, elle était passionnée et selon son sensei, elle était également une excellente élève. Elle se rendait au dojo trois fois par semaines pour son entraînement quotidient, puis elle vint à s'y rendre tous les jours. Une sorte de nouvelle complicité était née entre elle et son sensei, Tsumora-San (=monsieur). Il était bien plus qu'un maître pour la jeune fille, elle le considérait bien d'avantage, comme s'il était le père qu'elle n'avait jamais eu et elle n'avait aucun mal à se confier à lui.
A l'âge de 16 ans, alors qu'elle sortait de l'école, elle s'apprêtait à rejoindre le dojo de son maître comme elle le faisait habituellement après les cours et, en passant devant une rue un peu plus étroite aux abords de l'école, elle vit une jeune lycéenne, un peu plus jeune qu'elle, en train de se faire malmener par une bande de voyous. Mathilde avait un coeur d'or et elle ne supportait pas que l'on s'en prenne à plus faible que soit. Sûre d'elle, ayant une pratique de 6 ans d'arts martiaux derrière elle, elle s'impliqua dans la rixe en faisant sa maligne pour sauver la jeune fille et lui permettre de prendre la fuite. Seulement, la lycéenne mit plus de temps que prévu à s'enfuir et Mathilde du contenir ses agresseurs, ne voulant pas faire usage de son art martial devant elle. Malgré son assurance, Mathilde avait le code de l'honneur martial et elle savait pertinamment qu'elle ne devait pas faire usage de son art n'importe comment. La jeune fille s'enfuit mais les jeunes hommes, au nombre de cinq étaient armés de couteaux. Mathilde n'eut pas le temps de faire le moindre mouvement, elle se retrouva coincée contre un mur et deux d'entre eux l'immobilisèrent. Elle les injuria, se débattit de toutes ses forces mais ils ne lâchèrent pas prise. Un autre posa ses mains sur elle et commença à découper ses vêtements avec son couteau. La jeune fille se mit à crier de toutes ses forces. Elle était à proximité de son lycée, mais personne ne vint l'aider. Son uniforme partait en lambeaux, elle était à deux doigts de se retrouver en sous vêtements et les autres, la maintenaient là tandis que leurs copains s'amusaient à la tripoter. Elle se mit à pleurer, redoutant le pire. Puis, ses larmes devinrent brûlantes et une vague de chaleur envahit la ruelle avant que la jeune fille ne finisse entourée par un halo de flammes. Elle criait et pleurait, elle ferma les yeux, entourée de cette chaleur. L'étreinte de ses agresseurs disparu, bientôt les flammes se dissipèrent et quand la jeune fille rouvrit les yeux, ce fut cinq corps calcinés qu'elle découvrit à ses pieds. Elle se mit à pleurer d'avantage, tétanisée par ce qu'elle venait de faire. Et elle se surpris à penser que c'était bien fait pour eux ce qui leur était arrivé.
Elle ne se souvint plus de ce qu'il s'est passé après, elle avait comme un trou noir, elle se souvenait juste s'être retrouvée dans les bras de son sensei, pleurant à chaudes larmes. Elle lui avait raconté tout ce qui s'était passé et il s'était occupé de tout le reste. Elle n'entendit plus jamais parler de ces garçons, il n'y eu même pas de suites judiciaires à l'affaire, cela ne fit pas de bruit et n'aparut même pas dans les journaux, seul cinq disparitions furent signalées mais aucun corps ne fut retrouvé. Mathilde ne posa jamais de questions. Son sensei lui avait dit que ce qu'il s'était passé ce jour là devait rester un secret entre elle et lui. Même sa mère ne fut pas mise au courant.
Il fallut quelques temps à la jeune japonaise pour se remettre de cette histoire mais avec l'aide de son sensei, de son caractère combatif et de sa pratique encore plus assidue des arts martiaux, elle finit par retrouver une certaine paix intérieure et surmonta ses peurs et ses angoisses.
Malgré le fait qu'elle n'en reparla jamais avec avec son sensei, elle ne put s'empêcher de se poser des question au sujet de cet étrange pouvoir qui lui avait sauvé la vie ce jour là. Elle voulait savoir d'où il venait et aussi, comment le maîtriser. C'est en fouillant dans de vieux manuscrits qu'elle a découvert l'existence d'Atlantis, elle est partie à la recherche de cette île mystérieuse et a décidé de s'inscrire dans l'école.
Mathilde passa quelques-unes de ses plus belles années à Atlantis durant lesquelles elle appris à contrôler un peu mieux son pouvoir des flammes et en découvrit même un autre, la téléportation, lorsqu'elle voulu aider son amie Rachel.
Mais tout au long de sa scolarité, sa culpabilité d'avoir tué des gens continuait de la poursuivre. La présence réconfortante de son sensei lui manquait. Elle ne s'en était jamais rendue compte, mais il exerçait sur elle des ondes apaisantes qu'elle ne trouvait pas à Atlantis. Elle avait gardé cela pour elle presque tout le temps, mais avait finit par craquer à cause d'un élève qui l'avait approchée d'un peu trop près. Ce jeune homme était pré-nommé Dimitri. Il avait ravivé en elle de très douloureux souvenirs, faisant ressurgir ses peurs et ses craintes. N'arrivant pas à garder l'esprit clair, elle s'était confiée à la directrice de sa maison, Saphira Ventira qui lui avait apporté son aide. Cette aide lui fut précieuse mais il y avait toujours ce sentiment de culpabilité qui persistait et qui ne manquait pas d'occasion pour se manifester de temps à autres. Il réagissait d'avantage lorsque Mathilde se trouvait dans les ténèbres et Loki le dieu du mal ne mit pas longtemps à le comprendre pour s'accapparer l'esprit affaibli de la jeune fille rongée par le remord.
Mathilde se battait de toutes ses forces pour ne pas céder à la solution de facilité mais lors du bal des lumières, la présence du dieu du mal la fit basculer de l'autre côté de la balance. Il était bien plus facile et bien moins douloureux de se laisser aller à ses sentiments noirs. C'était une fatalité et après tout, elle était peut être faite pour tuer finalement. C'est ainsi que Mathilde devint une disciple de Loki. Elle le suivit donc de l'autre côté et oeuvra pour lui un temps. Mais tout bascula le jour ou la guerre éclata. Mathilde fut mêlée à la bataille qui opposa les élèves aux disciple, et les divinités protectrices aux divinités bannies. Elle tua nombre de ses congénaires, autrefois étudiants peut être avec elle, puis, les forces de Loki s'affaiblissant, le contrôle qu'il exerçait sur son esprit s'estompa également. Sa culpabilité la rongea de nouveau et elle s'enfuit du champs de bataille encore plus horrifiée de ce qu'elle avait fait.
Elle resta dans l'ombre longtemps, avant de daigner ressurgir. Méditant sur son passé, sur la manipulation de Loki. Rongée par le remord et hantée par ceux qu'elle avait fait souffrir, et par les esprits de ceux qu'elle avait tué. Elle voulu mettre fin à ses jours aussi. Mais quelque chose, ou plutôt quelqu'un l'en empêcha. Son sensei, sortant de nulle part l'avait retrouvée. Et il lui sembla sentir un grand soulagement lorsqu'il la serra dans ses bras. Elle se sentie appaisée. Il la ramena au japon, dans le dojo où elle avait appris les arts martiaux. Mathilde était entrée dans une sorte de mutisme mais avait repris peu à peu son entraînement aux côtés de son sensei. Au bout d'un an, il lui avoua qu'il était au courant de ses pouvoir ce qui rendit la voix à la jeune fille. Son silence se brisa, elle raconta tout et une nouvelle conviction naquit en elle. Celle de retourner là bas, pour racheter ses fautes.
Description et limites des pouvoirs (GP) ou des atouts (SP) : - Génère le feu - Téléportation - Prise de contrôle du corps des autres
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